L'ALGUE BLEU : APHANIZOMENON FLOS-AQUE (AFA) OU ALGUE KLAMATH

L'Algue Bleu: Aphanizomémon Flos Aquäe (AFA) ou Algue Klamat

 

Nous mettons à votre disposition les travaux effectués par Jacques Prunier Biologiste français dont la détermination et le courage nous ont permis d'accéder aux informations nécessaires et utiles  à la compréhension du renouvellement cellulaire et à notre capacité individuelle d'en tirer un grand bénéfice. Ses travaux sur les cellules souches l'on amené à mettre en évidence les bienfaits de l'algue bleue, bienfaits qu'il nous a exposé lors de sa conférence en février 2011 à Montauroux, qui fût suivie par de nombreux professionnels de santé du canton de Fayence.

L'algue bleue

par Jacques Prunier

 

                               

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l'algue bleue  est la plus ancienne forme de vie apparue sur la planète. Ayant traversé les époques sans aucun changement, elle est sans doute aussi la plus résistante, notamment aux microbes, avec qui elle vit généralement en symbiose, et surtout à la pollution. Elle constitue ainsi le plus puissant agent de chemoprotection.

En conséquence de la spécificité des substrats, les molécules porteuses des enzymes, on doit s'attendre à trouver des substances stériquement assez proches pour s'associer en ses lieux et place à l'enzyme, sans toutefois être transformées.

Si cette association est réversible, de tels analogies de substrats entrent en compétition avec le substrat vrai pour sa fixation et provoquent une inhibition compétitive de la réaction. C'est le cas par exemple pour l'aigle d'Amérique, chez lequel certains pesticides se substituent au chélateur du calcium et en bloquent le métabolisme. Le mécanisme par lequel l'algue bleue empêche ce phénomène est la combinaison de ces macrosmolécules - principalement des polysaccharides et des pigments - aux agents contaminants, favorisant ainsi leur élimination de l'organisme. Ces poisons métalliques et autres agents toxiques sont présents dans l'atmosphère et dans l'alimentation. Les métaux lourds, les métaux radioactifs, les pesticides et engrais chimiques, par exemple, font partie de ces composés particulièrement dangereux pour l'organisme. Les métaux lourds se déposent dans les tissus, les empoisonnent, ralentissent et perturbent leurs fonctions, notamment dans le foie et dans les reins.

Plusieurs espèces de micro algues ont démontré une capacité de fixation de ces substances et leur élimination de l'organisme (Holan, 1993 ; Vymazal, 1984 ; Volesky, 1995). Une recherche scientifique a mis en évidence leur fonction de protection des reins contre la toxicité de certains métaux lourds (Fukino, 1989). Un polysaccharide présent dans les membranes cellulaires des micros algues favorise la fixation et l'élimination des pesticides dans les intestins (Pore, 1984 ).

Les mêmes propriétés ont été attribuées à la chlorophylle, ainsi qu'à la phycocyanine, le pigment des algues bleues particulièrement abondants dans la spiruline est l'aphanizoménon (Vadiraja, 1998). Les  amalgames dentaires représentent une source de pollution constante dans l'organisme, à tel point que la pratique qui consiste à les remplacer par des céramiques et des résines est devenue très courante. Cette  démarche s'accompagne généralement d'un drainage des organes grâce à des dilutions homéopathiques assez élevées des poisons métalliques. À Seattle, aux États-Unis, la clinique de détoxination  du docteur Klinghaert est spécialisée dans ce genre de procédure, grâce à son concept de neurobiologie, une méthode de plus en plus renommée. La formule du docteur Klinghaert est un mélange de coriandre, d'ail des ours et d'une algue verte La chlorelle. Grâce à sa tunique de cellulose indigeste, cette dernière fixe les poisons métalliques que les autres composés drainent des organes et les élimine par le tractus digestif. La même formule que le docteur Klinghaert a été testée avec de l'aphanizoménon en remplacement de la chlorelle, les résultats ont été au-delà de toutes attentes. En effet, non seulement l'aphanizomenon réalise le même travail à un dosage 10 fois moindre que la chlorelle, mais de surcroît, elle va chercher les métaux dans les tissus et les organes, cerveau y compris, alors que la chlorelle n'agit que dans les intestins. Cette différence est probablement due au fait que l'aphanizomenon à une action synergique de plusieurs composés, alors que la chlorelle est intéressante pour son taux de chlorophylle, ces polysaccharides et ses membranes de cellulose indigeste. La chlorelle, par exemple, ne contient pas de phycocyanine, le pigment exclusif des algues bleues qui semblent être d'une importance non négligeable dans ces processus de détoxination en profondeur.

Pour obtenir plus d'infos:

 

 

 

 

                                                    Source: Site internet de Syner.J Health