LA MORATHERAPIE & LA BIORESONANCE

LA MORATHERAPIE & LA BIORESONANCE

Une nouvelle approche de l'acupuncture

 

Plusieurs chercheurs (Georges Lakhovsky et Fritz Popp entre autres) ont mis en évidence que les ondes électromagnétiques régissent les mécanismes de la vie.

 

En 1926, Georges LAKHOVSKY ingénieur et physicien explique dans plusieurs publications que les cellules vivantes possèdent des systèmes de résonateurs capables d’émettre ou de capter des informations selon les mêmes principes qu’un système de radiodiffusion. Un organisme vivant est ainsi en liaison permanente avec l’environnement. Il énonce les trois principes suivants :
1. " La vie nait de la radiation "
2. " La vie est entretenue par la radiation"
3. " La vie est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire "

 

De nos jours, Fritz POPP, biophysicien de réputation mondiale et directeur d’un centre de recherche en Allemagne, a montré que les cellules vivantes, animales ou végétales, émettent des rayonnements électromagnétiques d’une puissance infime mais d’une cohérence telle, qu’elles sont capables de différencier des signaux ultra faibles noyés dans le brouillard électromagnétique. Ce facteur de cohérence dévoile par ailleurs la précision inimaginable avec laquelle s’effectue la transmission des informations au sein des tissus vivants. Ces émissions proviennent de l’ADN !

 

Aujourd’hui à travers le monde, existent plusieurs systèmes permettant d’évaluer l’état bio énergétique d’un individu et de le traiter. Des physiciens, des informaticiens, des médecins ont mis au point des appareils électroniques capables de détecter et de corriger les informations erronées issues de l’organisme. Une nouvelle médecine holistique : la médecine quantique était née ! Les cellules reçoivent et émettent des messages ondulatoires nécessaires à leur équilibre. Si un parasitage apparaît, provenant par exemple d’ondes électromagnétiques artificielles et perturbantes ou encore de toxiques inhalés ou ingérés, un dysfonctionnement partiel ou global des circuits oscillants de l’organisme prend naissance avec, à plus ou moins long terme, l’apparition de troubles organo-fonctionnels et systémiques.

 

Il faut distinguer : la BIORESONANCE endogène de la BIORESONANCE exogène

 

  • La biorésonance endogène est la correction directe des propres oscillations du patient sans apport d’énergie. En quelque sorte, il s’agit de « redresser » les distorsions oscillatoires de l’individu comme le ferait un oscilloscope sur le courant. La biorésonance endogène est effectuée par l’appareil MORA (utilisé en morathérapie) et par l’appareil BICOM : principe de fonctionnement identique avec quelques particularités intéressantes comme la possibilité, par exemple, de faire varier les facteurs d’amplification au cours du traitement.

 

  • La biorésonance exogène est une correction indirecte avec apport d’énergie. La stratégie est d’utiliser des générateurs de fréquence pour faire réagir l’organisme et lui permettre de se corriger lui-même. La biorésonance exogène est effectuée par le système MILTA ( mil thérapie ), par l’ INDUMED générant des champs magnétiques pulsés monopolaires, par le BIOWAVE 77 élaboré par MediGen Technology (utilisant les fréquences de Clark, de Rife et de Baklayan), ou encore par d’autres systèmes .....

 

Pour de plus amples renseignements sur cette pratique, des témoignages ou une mise en relation avec un médecin  par nos soins. Adressez vos demandes personnelles à notre consultante Chantal Chadufaux.

Fonctionnement du système MORA :

 

 

 

Franz MOREL, docteur en médecine, et Erich RASCHE, ingénieur en électronique, ont mis au point en 1977 une méthode tout à fait originale dénommée " morathérapie " (une des techniques très percutante employée en biorésonnance). Cette pratique fait la synthèse entre les conceptions éprouvées de la médecine traditionnelle orientale (acupuncture), occidentale (homéopathie) et les nouvelles technologies basées sur l’électronique et l’informatique.

 

Le patient est relié à l’appareil MORA par des électrodes d’entrées et de sorties. Il est pour ainsi dire intégré dans un circuit biocybernétique. Un filtre de résonance moléculaire, partie principale du système, fait le "tri" entre les ondes électromagnétiques physiologiques de la personne traitée et celles possedant une signature pathologique. Une inversion de phase de ces dernières sera automatiquement réalisée afin de gommer le brouillage ondulatoire empêchant les communications cellulaires de s’effectuer correctement.

                                                                                       source  www.mednat.fr